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TR : 17mg de 4-ACO-DMT, le pire bad trip de ma vie.

Meirrion

Elfe Mécanique
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16 Oct 2011
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La terreur absolue.

17-18mg de 4-ACO-DMT pris dilué dans une bière à 20h45. Le 9 mai.
Lieu habituel: après quelque trip chez moi pour varier, A et moi même sommes de retour dans son appart.

Montée en douceur, bonne ambiance, bon set et setting, pas de souci.
Montée bien euphorique, je kiffe sur la musique ; Le trip n’est pas très visuel, mais très mental, des images, des sons… Les sons, je perçoit vraiment les sons. Un trip auditif comme je n’en ai jamais eu. J’ai l’impression au bout de 40 minutes que mon oreille droite est très grande, comme une grotte dans laquelle résonneraient tous les sons.
Je me sens bien ,je suis mentalement transporté. Je suis aussi un peu en avance sur mon pote A qui a pris un para.

Pour aider la montée, nous avons fumé un bon pétard de bonne beuh. La montée se passe comme lors du décollage d’une fusée : accélération à 10G durant ces 40 minutes. La weed a directement lancé l’ambiance psychédélique. Il me semble ne pas avoir de visuels, mais en fait nous sommes comme hypnotisé par la substance. On fixe un point fixement et les couleurs défilent dans la tête. Comme je n’ai jamais testé le 4-ACO-DMT sans weed, je ne peux pas dire si cela vient du combo avec la weed ou de la substance elle même.

Vers 21h40, soit 1 heure après, A décide de faire à bouffer (du riz et des nems). Il met de l’eau à bouillir. Je reste sur le canapé à tripper. Au bout de quelques minutes (à partir de maintenant la notion du temps disparaît), je commence à partir bien loin, le trip est puissant, très mental, les objets sont déformés.
Je commence à entendre un son, une vibration, un truc qui bouillone, me gène, me dérange, me prend littéralement la tête. En fait je pense après coup que c’était le bruit de l’eau qui bout. Dans tous le cas, ce grésillement, comme un portable qui vibrerait on ne sait pas où en continue, a commencé à m’obséder. Je me sens oppressé, je décide de bouger un peu, de prendre l’air. Rien ne change. Je pisse, rien de différent (normalement c’est un moment de lien avec la réalité). Je commence à m’agiter. Je baisse la lumière, j’essaie de changer la musique mais je n’arrive plus à lire ni à choisir. Impossible dans ma tête de trouver un seul morceau susceptible de me rassurer. C’est le bad trip.

Jusqu’ici je n’ai jamais connu qu’un (petit) bad trip au 2C-C durant lequel je m’angoissais par rapport à mon pote, je me sentais coupable sans savoir pourquoi alors que tout allait bien. De plus, j’ai pris la substance en para, et la feuille ne passait pas, elle m’a irrité le bide et l’estomac tout le trip pour que finalement je la vomisse intacte avec un immense soulagement. Mais ce n’était en rien comparable avec ce que je m’apprêtais à subir.

Je suis donc dans le salon, le cerveau à 100 à l’heure, tout se déforme, ce sifflement/vibration strident m’obsède et m’angoisse, je n’arrive pas à choisir la musique.

J’appelle mon pote, je lui dis que ça va moyen. Il s’assoie sur le fauteuil à coté du canapé où je suis. Il commence à manger. Il est bien perché et ne comprend pas que je ne vais pas bien. Habituellement il m’arrive d’avoir des moments d’angoisses durant les trips, et il reste calme. Il mange et le bruit de sa mastication (la bouche sèche) m’obsède. Tout à coup, l’espace de quelques secondes, j’ai l’impression (mentale et visuelle) d’être dans un cauchemar éveillé : des yeux et des sortes de pustules poussent dans la pièce et sur mon pote, j’ai l’impression que ça fait comme des bulles horribles. De la cire ou une sorte de goudron semble s’écouler des yeux de mon pote. Plus que le bad trip, c’ était un horror-trip comme jamais je n’aurait pensé possible.

Dans l’instant qui suit, je suis terrifié, incapable de parler devant cette vision d’horreur. Un frisson de terreur absolue me parcourt le dos. Mon cœur bat la chamade, j’ai du mal à respirer, je panique mentalement. Je n’ai plus d’énergie et je suis terrorisé. Cette vision d’horreur me glace le sang. Jamais de ma vie je n’aurais pensé avoir aussi peur, ressentir la terreur.
Je me tourne vers A : « Ca va pas, ça va vraiment pas, j’ai super peur ».
Il me dit qu’il trouve aussi l’ambiance un peu flippante. On allume un peu plus la lumière. J’ai l’impression que toutes mes peurs d’enfants surgissent dans un torrent d’effroi. J’ai l’impression que des bêtes rôdent autour de nous, que quelque chose d’horrible va apparaître. Parfois des déformations horribles, des constructions mentales effroyables me frappent par vagues.
Je dis à A : « Mec j’ai peur, je suis terrifié, j’ai suis terrorisé », je me rapproche de lui, tout près. J’ai tellement peur…

A commence à comprendre que je vais mal, mais il ne mesure pas à quel point, il parle peu, complétement dans le trip. Il ne me rassure pas, ou n’y arrive pas. Dans notre relationnel psychédélique, je suis celui qui fréquente les forums, me renseigne, lit tous les guides du « bon trip » sur le net. Lui il me fait confiance, est vraiment posé et semble ne jamais badé, mais ne sait pas forcément comment réagir en cas de bad de son pote. Et moi, qui sait (ou pense savoir) comment prendre en charge quelqu’un, je suis angoissé et terrifié.

Je suis sous le choc, j’ai peur que ces visions d’horreur que mon cerveau génèrent reviennent à nouveau. Je suis à coté de mon pote, je souffre mentalement. Je vois des sortes d’épines énormes semblables à des griffes recouvrir les murs, le plafond, la table. Je me dis que je vais devoir tenir durant je ne sais combien de minutes qui vont durer une éternité, face à mes pires cauchemars. Je me sens pourchassé, j’ai l’impression que le grand méchant loup qui se cache sous les lits des enfants va venir me bouffer. Je regarde mes mains, j’ai l’impression que mes tendons vont se transformer en d’autres doigts, et que mon corps va aussi me faire peur. J’aimerais m’échapper dehors et en même temps me cacher sous une couette, mais je suis terrorisé car je sais que ces visions infernales sont le fruit de mon cerveau.

Je commence à parler à A, à essayer de lui expliquer ce qui se passe. Mais allez expliquer à votre pote perché que vous êtes en train de vivre le pire des cauchemars alors que vous êtes perché. Je parle vite, j’ai beaucoup de mal à m’exprimer. Physiquement c’est l’horreur. Je n’ai pas mal, ni de crampe, mais je ne sais pas ou me mettre, je me sens mal à l’aise. J’ai l’impression que je vais m’évanouir, que mes yeux vont se révulser. Ma tension est faible, je n’ai aucune énergie.
Il faut préciser que comme la dernière fois que je me suis senti mal dans un trip, je n’avais pas mangé depuis le midi. Hors, sur Wikipédia, on découvre à la page bad trip que Timothy Leary pensait que l’hypoglycémie facilite les bad trips. En tout cas chez moi, ça fonctionne^^

Je décrit ma situation à mon pote qui saisit enfin mon état, mais j’ai peur qu’il panique à son tour. Il me conseille de manger.
Durant toute la fin du trip (environ 2 heures) je lui décris mes sensations d’effroi, mon état. J’ai l’impression que rien de pire ne peut m’arriver. Mes images mentales sont très complexes (mais plus flippantes à ce moment là) et j’ai beaucoup de mal à les exprimer. Je me sens comme (sic) un corps faible et fragile à la surface d’un astéroïde au fin fond de l’espace, qui regarderait une divinité infernale du genre Cthulhu prête à l’écraser. Je ne souhaite même pas mourir, tout est tellement effroyable que j’ai l’impression que mon âme va subir des tourments éternels.

Bref, je passe donc 2 heures à extérioriser ma peur/horreur/terreur/ ya pas de mots qui va durer une bonne heure.
A un moment, A va cherche un truc à la cuisine (il passe sa vie à bouffer), en l’espace de 30 secondes, l’environnement recommence à se déformer de manière flippante.

On parle, on parle, il s’inquiète, il a peur de ce que j’ai vu. Puis on parle de nos visions. Il m’a dit que j’avais énormément d’imagination comparativement à lui. C’est vrai que mes délires psychédéliques sont souvent très complexes et très dur à décrire, comme si le cerveau était bridé en temps normal et que les molécules nous donnent accès à tout son potentiel.

Finalement une fois redescendu un petit pet de beuh (vraiment doucement) nous endort bien comme il faut, mais A se sent un peu mal, genre baisse de tension.

Finalement je dors bien , je suis épuisé et A dormira mal un peu inquiet.


Seconde partie du TR, une semaine plus tard :

Ce bad ne m’a pas traumatisé, mais j’avais un peu peur qu’il me hante. Finalement non et c’est tant mieux. Puis en me renseignant sur les bad trip et en mettant un mot sur ce que j’ai vécu, « bad trip », « crise de panique », un peu de « paranoïa », ben ça soulage. Il faut aussi que je fasse gaffe à l’hypoglycémie.

Il y a aussi un élément dont je souhaiterais vous parler. Ces derniers temps, je cogite pas mal sur la consommation de drogues psychéliques. Cette année (scolaire), j’ai pas mal consommé de psychédéliques, pas autre chose (pas de C, pas de Stim, pas d’opiacés, je n’y touche pas). Mais au début ma consommation allait de pair avec une grande curiosité et une envie de découvrir le pendant spirituel de ces drogues. Aujourd’hui, en augmentant la fréquence des prises, donc en banalisant d’une manière ou d’une autre l’expérience, il me manque des « repères spirituels ».
J’ai du mal à l’exprimer, mais souvent je demande à mon co-trippeur A : « Qu’est ce que tu attends de ce trip » ; J’ai des attentes d’ordre spirituelles, intellectuelles que je n’arrivent pas à formuler.

Bref, un avis de la communauté m’intéresserait beaucoup (Stylo si tu passes dans le coin j’attends ton analyse !).

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout J
 

Sludge

Holofractale de l'hypervérité
Inscrit
17 Sept 2011
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16 405
Tes trips m'impressionnent toujours. Leur puissante, leur aspect extrêmement visuel sont vraiment remarquables. J'arrive à m'imaginer un petit peu la terreur qui a dû te prendre, incontrôlable, impossible à raisonner...

Concernant les inquiétudes que tu exprimes, elles sont partagées, je suis passé par cette phase là, et j'y repasserai sans doute. Avec la banalisation, on perd certains aspects qui avant nous rassuraient et justifiaient nos trips. Il faut arriver à accepter le fait de tripper pour le fun "aussi". Peut-être ralentir les prises pour retrouver le plaisir de la découverte. Te mettre d'accord avec toi même, prendre des décisions sur tes habitudes de consommation et appliquer ce qui te semblera convenable et en adéquation avec ta morale et corps. Tant que tu n'auras pas éliminé ces inquiétudes, elles reviendront durant les trips.

Merci pour ce nouveau TR, flippant au possible.

Porte toi bien.
 
S

Styloplume

Invité
Wow. :shock: violent de chez violent! J'ai jamais vécu ça, ça me laisse un peu perplexe, je me dit qu'il y a toute une dimension des psychés que j'ai pas exploré... ou alors, j'ai pas eu les mêmes prods et set&setting, ce qui fait que mes pseudo-bads étaient moins horrifiques, moins intenses....


Bon, niveau psychiatrie moderne (j'y pense parce que c'est mon programme cette année), vu sur le papier, on appelerait ça un état psychotique aïgu, MAIS
Ce bad ne m’a pas traumatisé, mais j’avais un peu peur qu’il me hante. Finalement non et c’est tant mieux.
Donc félicitations t'es loin d'être psychotique! Le fait que tu ne sois pas resté perché le montre (en psycho on étudie les cas de jeunes restés perchés et on appelle ça une bouffée délirante aïgue). Rien à craindre de ce côté-là.

T'as remis les pieds sur terre, c'est bien. Et tu te poses les bonnes questions, d'après moi.

Avant d'y venir, haha, on peut analyser ton trip selon un modèle moins stigmatisant et plus dynamique! Go voir les matrices périnatales.

Ton bad est un vrai cas d'école de la matrice n°2. C'est juste cette matrice et rien d'autre. Pas de matrice n°3, pas de mort/renaissance (et donc de porte de sortie) en vue, l'impression de crever pour toujours... on y est. En fait ton bad rentre tellement bien dans cette case que y'a pas besoin d'en dire plus! T'as vraiment fait un bad propre de chez propre!

Il y a aussi un élément dont je souhaiterais vous parler. Ces derniers temps, je cogite pas mal sur la consommation de drogues psychéliques. Cette année (scolaire), j’ai pas mal consommé de psychédéliques, pas autre chose (pas de C, pas de Stim, pas d’opiacés, je n’y touche pas). Mais au début ma consommation allait de pair avec une grande curiosité et une envie de découvrir le pendant spirituel de ces drogues. Aujourd’hui, en augmentant la fréquence des prises, donc en banalisant d’une manière ou d’une autre l’expérience, il me manque des « repères spirituels ».
J’ai du mal à l’exprimer, mais souvent je demande à mon co-trippeur A : « Qu’est ce que tu attends de ce trip » ; J’ai des attentes d’ordre spirituelles, intellectuelles que je n’arrivent pas à formuler.

Cherche pas c'est de là qu'il vient ton bad. Triper gentilment trop longtemps ça réussit à personne (sauf à Quetzal, mais lui il faut voir ses set & settings). En fait beaucoup sinon chaque utilisateur de psyché expérimenté a eu sa période dure où les trips sont plus dark. Et ben congrats dude, tu viens de tomber dedans direct!

Y'a pas trente-six mille solutions. Tu l'as très bien dit toi-même. Débanaliser le trip, formuler les attentes intellectuelles/spirituelles, soigner un peu le set quoi :)

Bon, je te donne mon avis vite fait. J'ai pas envie de t'influencer de trop. Et même j'en ai trop dit quelque part. Je considère moi-même que bader fait partie intégrante d'un trip, qu'il y a une dynamique à comprendre là-dedans.

Ah, et merci pour le

Bref, un avis de la communauté m’intéresserait beaucoup (Stylo si tu passes dans le coin j’attends ton analyse !).

*Stylo rougit*
 

voidmercenary

Holofractale de l'hypervérité
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28 Jan 2012
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1 222
Bien flippant ! J'ai vraiment hâte de me confronter à toutes mes peurs infantiles, j'ai jamais eu de bad oev, enfait ça me fait envie dans le fond :) :maso:
 

Mr Crusta

Alpiniste Kundalini
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10 Avr 2012
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517
Merci super TR, à vrai dire ça me donne grave envie, je dois être maso chépa. Mais déjà que je voulais try ce RC, il a l'air d'envoyer sévère AU MOINS.
 

Meirrion

Elfe Mécanique
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16 Oct 2011
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@Sludge : merci pour tes conseils, il me semble que nous arrivons tous au même stade à un moment donné. N'ayant jamais été dans la consol hardcore de tout et n'importe quoi, mais à l'inverse dans la découverte psychédélique, il faut que je me pose un peu durant quelques temps, ou peut être tenter une nouvelle approche.

@Stylo: Yes, je suis pas psychotique! :lol: Merci pour ton analyse, je ne sais pas pourquoi, je sentais que y'avait de la matrice périnatale là dessous! En tout cas, j'ai juste vécu le dark total, sans porte de sorti et encore moins d'extase mystique. Bref, mon projet dorénavant: gaffe au set.

@ CookiesSlayer: oui, je me suis dit qu'il fallait absolument partager les mauvaises expériences. Je pense que de nombreux psychonautes font de leur mieux pour être dans une bonne démarche (uniquement psychonautique), ce que j'essaie de faire aussi, cependant jamais je n'aurais pensé pouvoir, malgré toute la prudence du monde, vivre une expérience aussi fortement négative sur le moment.

Evidemment, comme Styloplume, je pense que le bad n'est pas une mauvaise chose en soi, c'est une étape, un symptôme de quelque chose dont il faut s'occuper.

@voidmercenary et Mr Crusta: je vous assure que le 4-ACO-DMT et ses petits cousins dépotent bien comme il faut. Mais j'espère que jamais vous ne vivrez cette terreur que j'ai ressenti. Il y a une infinité de bonnes choses à vivre avec ces substances, parfois des angoisses, mais un bad trip de ce calibre, non, on ne peut pas le souhaiter!

Merci à tous pour vos réponses!
 

panoramixx

Holofractale de l'hypervérité
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15 Mai 2012
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1 159
En même temps, si t'as déjà eu du mal a gérer le 2C-C, je suis pas trop surpris que le 4aco-dmt t'ai mis une torgnole...

C'est quand même pas le produit le plus festif, et 17mg pour un essai c'est beaucoup, d'autant que la montee est tres brutale, et surprend même les plus avertis...
 
D

Deleted-1

Invité
Ouai il pousse bien le petit 4-ACO dans ce genre d'ambiance ---> livré à soi même en présence de gens...j'ai pas kiffé, quitte à manger sévère, autant que ça soit seul, enfin je préfère dans ces cas là.

Sinon en parlant de manger, oui il faut toujours grailler (un peu) avant un trip, sinon ba c'est comme avec l'alcool ou n'importe quelle autre substance, ça schtroumph' la tête hihihi =)

(après ne pas manger ça peut aussi permettre de prendre cher, question d'envie et de mentalité, perso j'ai arrêté arf, maintenant je gobe et je mange direct après...ouai finit la fin qui tiraille et affaiblit alors qu'il m'est difficile de manger en descente, sinon en mode Yop)
 

Meirrion

Elfe Mécanique
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16 Oct 2011
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@Panoramixx: c'est sur que ma petite montée d'angoisse sous 2C-C ne présageait pas de bonnes choses, mais je pensais que ce n'était rien. Et au début, le trip se passait nickel, gros smile, gros kif sur la musique, puis je me suis focalisé sur ce bruit de bouillonnement et ça à viré en trip bien flippant :(

Et Laura Zerty, comme toi, je crois que je vais arrêté d'être trop à jeun, après j'oublie de bouffer et je suis en mode hypoglycémie/festival de couleur dans la tête ça fatigue et ça doit bien jouer sur le coté dark je pense. Je vous dirai ça lors du prochain trip :)
 
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