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Tribes Gathering 2013: (2C-C + LSD) Un trip inattendu pour un festival incroyable!

Meirrion

Elfe Mécanique
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16 Oct 2011
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287
Qui: Dyson, A et moi-même
Où et quand: tribes gathering 2013
Set&setting: parfait, euphorique, esprit de découverte, grosse éclate
Substance: Weed, alcool (Amsterdam Navigator) MXE (par petite trace non pesé mais réalisé sur un sachet connu), 2C-C (une gelule de 35mg par personne), carton de (je suppose) LSD
Spoil: Très bon festoch, pas de bad, expérience inattendue qui s'est très bien déroulée. Pas de prise de risque particulière.



Bonjour à tous camarades psychonautes !


J’ai deux trois choses à vous raconter, à partager avec vous en ce mois de mai 2013.Je suis en effet allé au Tribes Gathering les du 12 au 15 avril 2013, et ça mérite quand même un petit TR.

Je dois préciser qu’auparavant, je n’avais jamais fait de festival, ni de free-party ou quoique ce soit qui s’en approche, j’ai donc découvert tout plein de choses, comme un gamin.

A l’origine de ce voyage vers la Belgique, un post sur ce forum concernant les festivals de cette année. Plusieurs d’entre vous mentionnaient le Tribes, que je ne connaissais pas, mais qui était le plus proche dans le temps. Je me suis donc renseigné, ça avait l’air cool, c’était pas cher, bref, je motive deux potes et nous réservons nos places.

On décide donc de partir vendredi soir après les cours avec la voiture de Dyson (surnom de merde dû à la puissance d’aspiration de ses narines face à la MXE) et A. nous partons jusqu’à Paris pour récupérer deux personnes en covoiturage, que nous ne connaissions pas, appelons les Brasil et Crête. Donc nous faisons connaissance tandis que nous roulons vers Hotton, en Belgique, par les nationales, parce que oui, les jeunes ça n’a pas de thunes. Dois-je préciser que la bagnole de mon pote est plus poche de la charrette (mais une bonne charrette) que de la berline ? En tout cas, à 5 dans cette voiture, nous étions absolument ravi de partir à l’aventure !

On roule, on roule, on discute, il s’avère que Crête et Brasil sont super sympas, ils kiffent bien la Psytrance, la Hardtek, la tribe, les prods, la teuf quoi ! Le courant passe super bien. Je suis déjà ravi d’avoir rencontré de nouvelles personnes.


Avant qu’on arrive, faut que je vous fasse un petit background de mes potes :



Donc que du positif. Que des potes, de la confiance mutuelle, l’envie de s’éclater, des prods pesés et connus et je suis bien informé sur ce que l'on pourrait croiser. On a prévu de la bouffe qui cale bien, de l’eau, j’ai des petits médocs pour les maux divers et variés. On a aussi emporté un peu de weed (mais pas trop au cas où nous aurions des contrôles), de la Méthoxetamine, et j’ai préparé 6 capsules de 2C-C chargées à 35 mg (et une à 40mg, pour le fun). J’ai vidé et remplacé des gelules d’ultralevure, j’ai marqué discrètement les capsules en question, et hop, inaperçues dans la trousse à pharmacie.



Arrivée : la nuit de vendredi à samedi


Nous arrivons vers 3h du matin à Hotton. Une ambiance incroyable, vraiment surréaliste. On entend le son, on sent sa puissance, même à 1km. On longe cette grande route le long de laquelle se garent tous les véhicules. Il y a des voitures, des camions aménagés, même des bus bien psychédéliques. La nuit est éclairée par les lampes des teufeurs, et les lueurs des voitures. On se gare. A peine sorti, nous croisons un mec avec de looongues dreads qui nous propose « à la criée » : « Ké, LSD, MD, weed, speed… ! »
Je me marre.

On se dirige vers ce qui semble être le camping. Il fait nuit, il fait humide et un peu froid, le sol est boueux. On cherche tant bien que mal un emplacement pour nos tentes. Finalement, à l’instinct, sans aucune vision d’ensemble du festival, on décide d’établir notre campement sur les conseils de Brasil et Crête. On s’installe, on s’habille en mode dégeu, et on commence.
Au menu : de la 8,6° qui a bien fait son travail, un ou deux bédos de cette bonne weed que nous avons apporté, et de la MXE. Le temps que tout cela monte, on se dirige vers le festival.



La tente Psybient: la yourte-utérus


Ambiance surréaliste encore, avec ce sol boueux, tous ces gens avec des looks d’enfer, dreads, vêtements amples, petit campement de partout, une odeur d’herbe omniprésente, la lumière blafarde des projecteurs qui jettent d’immenses ombres sur la boue. On arrive finalement à l’entrée, pas de contrôles des tickets à cet heure ci. On essaie de se repérer brièvement. La mxe monte, on commence à être bien défoncé. On se dirige vers la tente de chill-out, une sorte de grosse tente blanche en forme de bulle.

On rentre. Je suis soufflé par la beauté de l’endroit, quelque chose de puissant : on s’y sent comme dans un cocon. Au plafond, de grands papillons multicolores, éclairés par une douce lumière noire qui les rend fluorescent. Le sol est couvert de paille, seule chose à peu près sèche dans ce festival. Les gens sont assis, allongés par terre, détendus, il fume tranquillement leurs joints. Et la musique ! Deux DJ sapés comme si on était sur Tatoïne passe de la psybient hyper agréable. Nous sommes choqués. Choqués par la puissance de l’endroit, ces ondes d’énergie positives qui s’en dégage. De good vibes. Jusqu’ici nous avions toujours trippé en petit comité. Là, je suis saisi par le simple spectacle de ces gens venus profiter. Tout le festival, je me suis régalé d’observer les gens, de parler avec les festivaliers, d’échanger avec les uns et les autres, c’était vraiment super.

On s’assoit en tailleur, on sort un joint, on l’allume. On regarde autour de nous. Des sourires, des pupilles dilatés, de bonnes ondes… La bière nous a bien détendu, la weed nous massacre, la mxe nous dissocie, avec cette douce chaleur intérieure… La sensation est … indescriptible. Je suis assez ému par le lieu, l’ambiance. J’aurais été plus démonstratif, j’aurais posé une petite larmette. Dyson et A se rapproche. On se met en cercle, enfin triangle puisque nous sommes trois, on se donne la main en tailleur et on ferme les yeux pour se laisser transporter. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés comme ça, 5-10 min peut-être. C’était incroyable. Comme si nous sentions l’énergie fluctuer dans nos corps, comme un courant qui passerait de l’un à l’autre. Sentir que mes amis, que j’apprécie au plus haut point, partage ce moment avec moi, que nous sommes là pour se faire plaisir, c’était mystique.

Au bout d’un moment que je ne saurais quantifier, nous sommes sortis de ce cocon magique. Une fois dehors, nous nous sommes juré d’y retourner pour le trip du lendemain. Nous sommes partis vers le chapiteau qui balançait du gros son. Là je ne me rappelle plus ce qu’on a fait. Nous ne sommes pas resté très longtemps. On s’est couché vers 6h.



Le samedi aprem: balade en forêt, où est le LSD?


Nous nous sommes levés vers 13-14h. Nous avons discuter avec Crête et Brasil, qui avait planté leurs tentes à coté de la notre (une superbe Quechua 3 places). Nous avons mangé et bu bien comme il faut, histoire de respecter nos corps.

Nous sommes ensuite allé nous balader : sur le festival, dans les chapiteaux Psytrance, Dnb/Dubstep, Hardtek. C’était sympa mais je dois reconnaître que sobre et en plein jour, ce n’était pas aussi bien que de nuit sous substance. J’ai oublié de préciser : dès le réveil, Dyson s’est attaqué à la bière, et A et moi-même avons fumé et pris un peu de mxe. Autant vous dire que de toutes ces substances, la bière a vraiment fait des ravages chez Dyson, qui était vraiment saoul, mais toujours valide. Il s’est vautré plusieurs fois dans la boue, on était vraiment mort de rire.

De retour à la tente pour une pause goûter, je demande à Brasil s’il a encore des cartons. N’ayant aucune expérience avec le LSD, et ayant lu sur le forum que des cartons de 25I-Nbome étaient vendus comme du LSD dans le coin, je le questionne. Il me dit que ça va ils ne sont pas trop fort, me conseille un demi-trip pour commencer, me dit que je ne dois pas m’attendre à des visuels avec cette dose là, et que la montée peut durer 1 ou 2h.
Je lui en prends 3. Les cartons sont verts avec une sorte de flocon/étoile jaune dessus. On est en prend chacun une moitié. J’avais déjà mangé des cartons avec le 25C-Nbome, mais p***** qu’est-ce que c’est chiant à couper ces petites choses !

Nous partons vers la forêt pour profiter de la nature belge. Nous marchons, sans toutefois trop nous éloigner. Je sens que ça peut être grandiose. Nous nous posons pour manger un bout (oui, nous sommes de gros affamés), à la lisière de la forêt. Pour ceux qui y étaient, c’est au niveau du pont qui est sur la route où étaient garés les véhicules. Une rivière, ou plutôt un ruisseau passe par là. Nous nous posons tranquillement. Je n’ai aucune sensation de montée, ça doit bien faire 30 minutes que nous avons pris les cartons. Cependant, j’ai cette sensation, cette vision un rien psychédélique qui me met le doute. Mes camarades n’ont absolument aucun effet. Nous restons là une bonne demi-heure à regarder la nature. Finalement, un peu déçus, nous mangeons la seconde moitié (1 heure après donc)


L’après midi touche vers sa fin. Nous avons beau chercher de la weed dans tout le festoch, impossible d’en trouver. On espérait lancer un peu ce « trip » que nous ne ressentions pas. Nous repartons vers notre tente.

On croise Brasil. Je lui dis que les cartons ne nous font rien. Il me dit qu’il faut être patient, que la dose prise n’est pas importante, que c’est subtil, c’est plus un état d’esprit qui change… Ouais, je suis pas convaincu. En même temps, je ressents une sorte de paix intérieure. Mais de là à dire que c’est placebo, l’euphorie d’être ici, ou le trip, j’en sais rien.



Le samedi soir: Psytrance, combo, grosse éclate


Il doit être 20h30, le soleil décline. Il fait bon, l’air se rafraichit, et sous les chapiteaux la fête bat son plein, les enceintes crachent, il nous arrive de percevoir un son hyper trippant dans tout ce vacarme, un beat psytrance qui galope… A, Dyson et moi-même décidons de prendre ce 2C-C préparer avec amour. Et hop, une petite gélule pour chacun. Je suis content, la déception que je voyais sur leur visage, à l’idée de s’être fait avoir, d’attendre un trip qui ne venait pas, va être remplacer par une bonne perche.

Nous partons vers les chapiteaux.

Petite pause : la rédaction de ce TR s’étant étalé sur un mois à peu près, j’ai un peu perdu les repères temporels, mais la substantifique moëlle du trip est toujours là !

On rentre dans les chapiteaux. On visait la tente psytrance, mais la violence de chaque chapiteau, DnB, Hardcore, Tribe… Tellement puissant, on est allé partout !

Au bout de quelque chose comme 30 min après ingestion des gélules, on commence tous les trois à ressentir une bonne petite nausée. Dyson a bien envie de gerber, A ça va a peu près, et moi je suis entre-deux : galette- pas galette… On devait être dans le chapiteau Psytrance. Ca poussait bien, ça montait bien. Dyson a l’air de bien ramasser, il découvre vraiment ceux que sont les psychédéliques. Son premier trip au 2C-C l’avais un peu laisser sur sa faim. Là il est rassasié, mais il ne le sait pas encore. On sort de temps en temps prendre l’air pour calmer la nausée. En même temps que Dyson gerbe, on se marre, on trippe bien. Je gerbouille un peu (désolé pour les détails) et ça va mieux après.

Et là, pendant un temps infini qui devait s’inscrire dans 2h du monde réel, on a trippait comme des sales dans la tente Psytrance. Les lumières, le son (avec protection), le public bien chéper qui kiffe bien, c’était à OUF ! Un mec dans la foule avait des gants avec des leds de couleur changeante au bout de chaque doigts. C’était visuellement génial. Le 2C-C donne la pêche, sans bodyload notable mis à part les nausées. Les visuels étaient bien puissants, je voyais les dents et le blanc des yeux des gens ressortir, mais ce n’était pas flippant, plutôt super fun. De plus les décos du chapiteau étaient géniales, des sortes de tissus en 3D ultra trippant. A kiffait bien comme il faut, Dyson était en train de devenir à moitié fou vu la tête qu’il faisait (grosse confusion il me semble). La soirée à continué comme ça. Nous sommes allé taper du pied devant la hardtek sur-puissante, puis nous avons changé d’endroit quand le son est devenu un peu plus dark.

Au bout d’un moment, on a décidé d’aller vers la tente de chill-out que nous nous étions juré de rejoindre. On y va. Le chemin est boueux, les lumières irréelles, le son et l’ambiance incroyable. L’air frais fait du bien. On arrive devant la tente, la yourte-utérus de hier soir. A peine passé l’entrée, je suis assailli par les échos infinis des voix des teufeurs, comme des murmures. C’est étrange durant quelques secondes, puis ça me fout mal à l’aise, c’est trop fort, on ressort. J’ai même demandé si ce n’était pas un enregistrement de murmure qui était diffusé exprès (logique psychédélique).

On se dirige donc vers le feu à quelques mètre de là. C’est agréable. C’est fascinant. Le feu, juste là, toujours rassurant, qui offre chaleur, lumière et réconfort. Quelques festivaliers sont assis autour, souriant, bavardant, bienveillants. Connexion l’espace d’une seconde avec tous ces hommes qui depuis la nuit des temps se posent au coin de ce feu, ce dieu païen qui cuit, protège, illumine, et allume les bédos. Moment mystique stoppé par le vent qui tourne et la fumée dans la gueule.



La tente à thé : j’avais oublié le LSD


On va se poser au niveau de la tente qui vend du thé chaï toute proche. On se marre parce que Dyson avait tappé un vieux délire à moitié paranoïaque la veille, en voulant prendre du thé. Il avait cru que comme nous étions en festival, le thé était gratuit. Il avait cru s’être fait voler quand on lui avait demandé 6€ pour 3 thés. Il était bien saoul, il n’a pas tout compris et nous en a reparlé tout le festoch. Bref, je vais acheter 3 thés pour éviter tout incidents diplomatiques. J’aime leur gout fort, de clou de girofle, d’épices. Et cette chaleur réconfortante…
On se pose par terre, sur les bâches. Je regarde les gens autour de moi, ils m’ont fascinés tout le festival. Je me demande d’où ils viennent, ce qu’ils font, leur relation entre eux. Je les trouve beaux, fascinants. Ils rigolent, se marre, ils sont visiblement français mais je ne comprends rien à ce qu’ils disent. Un des gars imite le cri de la poule, stupeur ! Et gros éclat de rire. Je trouve génial se retour à l’état d’enfance, cette envie de faire des cris d’animaux, de rire, de bavarder, d’être là, dans l’instant présent.
Je m’allonge, je regarde l’entrée du festival, la porte d’entrée d’où passe plein de gens. Et là, ce carton que j’avais presque oublié se fait sentir. Alors que je sens que le 2C-C a fait son office et est bien redescendu, là c’est … autre chose.

Je regarde le sol devant moi, au loin. Les lumières du festival projette leur couleur sur la boue façonnée par les pas de milliers de personnes. Je vois chaque aplat de couleur vibrer successivement aussi loin que je regarde cette boue. Je souffle un coup. C’est puissant, c’est saisissant comme c’est puissant. Je suis aussi impressionné par la clarté de ma pensée à ce moment là. Pas de confusion, une impression de grande clarté. Cette terre qui vibre, j’ai l’impression qu’elle va s’élever à l’horizon (comme dans inception), se mettre à la verticale. J’ai l’impression que ça peut partir très loin. On reste là au moins 1h, à tripper sur ce que l’on sait être ce carton, qui a su se faire désirer.

Et on rentre à nos tentes une fois que ça s’est un peu calmé.


La suite du festival n’a pas particulièrement d’intérêt dans ce TR. On est resté jusqu’au lundi matin, on a été surpris par l’absence de son le dimanche soir, heureusement quelques personnes avait des sonos dans leur bagnoles ou dans des tentes. Nous nous sommes donc baladés dans le noir complet à la recherche d’aventure. Nous n’avons rien pris ce soir là si ce n’est un peu de MXE.
En déposant nos covoitureurs chez eux à Paris, Brasil nous a donné 3 micropointes. Il avait trouvé un sachet plein d’une trentaine de mine de crayon/ micro-pointe. D’ailleurs j’ai croisé pas mal de gens qui avait trouvé des substances par terre : MD, trip, speed… Bref, c’est cool.

Puis nous sommes rentrés chez nous.



Petite remarque avant de terminer : Jamais je n’aurais préparer un trip combo. J’aurais fait un trip LSD d’un coté, un trip 2C-C de l’autre, mais jamais je n’aurais pensé faire les deux. Finalement, les circonstances ont fait que ça s’est passé comme ça. Tout s’est bien déroulé, pas de fatigue particulière suite à ce trip, ni de problème pour personne. Je suis content car c’est quelque chose que je ne me serais jamais permis de faire, et finalement c’est une expérience incroyable. Mais n’oubliez pas de restez prudents les psychonautes !
Respectez votre cerveau et votre corps, buvez de l'eau, manger de la bonne bouffe régulièrement, faites gaffe, informez vous.

Prenez soin de vous !


Merci de m’avoir lu jusqu’au bout :)

Meirrion
 

Jester12

Elfe Mécanique
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14 Fev 2013
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TR très intéressant que j'ai eu plaisir à lire. Ça donne envie tout ça! :pidu:

C’est étrange durant quelques secondes, puis ça me fout mal à l’aise, c’est trop fort, on ressort. J’ai même demandé si ce n’était pas un enregistrement de murmure qui était diffusé exprès (logique psychédélique).

Ahahah, excellent! J'ai remarqué qu'avec le 2C-C c'est quelque chose qui arrive car j'ai déjà eu plus ou moins cet effet. Une soirée chez moi ou on avait tous pris 40mg chacun, j'étais focalisé sur le bruit ambiant que créait la musique et mes potes! J'avais l'impression que tout était fort, trop fort, et que la voisine allait forcément venir me demander de baisser. Du coup, je baissais le son de temps en temps, et à chaque fois je n'en revenais pas, le volume de l'ordinateur était presque au minimum! Bon, je n'ai pas eu de sensation désagréable comme toi par contre. Enfin bref, je pense que c'est bel et bien un effet caractéristique du 2C-C.
 

Meirrion

Elfe Mécanique
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16 Oct 2011
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Je ne sais pas si c'est vraiment caractéristique du 2C-C ou tout simplement des hallucinogène en général, mais c'est vrai que être submergé auditivement n'est pas toujours agréable. Une fois sous 4-ACO-DMT, je psychotais sur un sifflement que j'entendais et finalement sur le bruit d'ébullition du riz quon était en train de préparer. Résultat: bad atrocissime que tu peux trouver ici http://www.psychonaut.com/rcs/41968-tr-17mg-de-4-aco-dmt-le-pire-bad-trip-de-ma-vie.html

Merci pour ton commentaire :)
 

Poulinos

Holofractale de l'hypervérité
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5 Août 2010
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1 352
Relou j'avais écrit un truc mais vieux bug.

Bah sinon Tr bien sympa !! On sent que t'as kiffé ton week end ! On sent aussi le retour en enfance, l'émerveillement devant ce festival et les gens. T'as du bien te faire plaisir et ça donne envie d'aller au Tribe pour les prochaines éditions.

J'aurai bien aimé venir à ce festoch mais c'était un peu loin pour moi. Le manque d'argent a eu raison de moi. Ce Tr me donne grave envie de me faire un p'tit festival trance et danser devant un bon gros son et une tripotée de gens avec le smile !!
 

Meirrion

Elfe Mécanique
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16 Oct 2011
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287
Poulinos, carrément, c'était la grosse éclate. Mon trip principal était le festival en lui même, son ambiance, ce coté apocalyptique avec la bout et le look des gens, les festivaliers eux-mêmes plein de bonne vibes, les nationalités différents. Vraiment bien cool!

Ca m'a carrément motivé pour en faire d'autre, genre le Hadra peut-être et surtout Ozora cet été!
 
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